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Je suis fière d'être un gilet jaune (point barre ./)
23 mars 2019

Raphaël Enthoven dans son imbécilité parfaite.

L'idiot qui se pense intelligent :

"Je crois que le truc est mort, Finkielkraut aura tué ce mouvement comme il avait tué nia nia nia et nia nia nia.... "

C'était l'acte  XIV des GJ, actuellement l'acte XIX montre qu'il n'y a point d'essoufflement. Il montre aussi que le gouvernement c'est fourvoyé depuis le début. Pauvre gouvernement, triste gouvernement.

M'enfin cher Monsieur, que ne dites vous là ? Ne vous rendez-vous pas compte que vous êtes précisément en train de justifier l'idée selon laquelle toute cette histoire serait orchestrée dans le seul but d'arrêter les revendications populaires ? Exactement comme les BB qui arrivent au bon moment afin de rendre le mouvement des GJ impopulaire et dresser les Français les uns contre les autres.

Ayez un peu de réflexion quand même avant de vous répandre ainsi dans les médias.

Confondre annulation d'une taxe et report de la mesure, c'est volontaire ? De mon point de vue, vous étalez vos boniments preuve de votre nigauderie.

 

 

Et l'autre "Est-ce qu'il ne faut pas mieux partir, pour mieux repartir ?" Oh ! les grosses ficelles.

Mais on peut probablement faire encore mieux. Par exemple https://francais.rt.com/france/60343-bernard-henri-levy-propose-ne-pas-tenir-compte-vote-qui-ne-lui-plaisent-pas?fbclid=IwAR3W3O7Q0ZVX4dw_bxViNdCubBzK1D0x5JpSIw1cbeEshAlRstB95P6llDo

Je copie-colle l'artricle.

Bernard-Henri Lévy propose de ne pas tenir compte des votes qui ne lui plaisent pas
Bernard-Henri Lévy propose de ne pas tenir compte des votes qui ne lui plaisent pas© Brendan McDermid Source: Reuters
Bernard-Henri Lévy à l'ONU en 2015 (image d'illustration).

Encensant une nouvelle fois Emmanuel Macron, l'écrivain Bernard-Henri Lévy a pu exposer son modèle de démocratie pour un média belge. Avec une idée précise : ne pas tenir compte de certains votes.

Dans une interview clairement orientée pour le média belge L'Echo, le philosophe Bernard-Henri Lévy (BHL) a choisi d'être radical pour lutter contre les populismes. «Quand cette population-là vote pour le pire, le racisme, l’antisémitisme, la haine, quand ils sont encore minoritaires, je pense qu’il faut leur dire : on ne tiendra pas compte de ce que vous dites», proclame-t-il. Le quotidien, certainement étonné de la réponse, se demande si la manœuvre est démocratique. Ce à quoi BHL réplique : «Si, c’est démocratique.»

Il assume donc : «C’est ce qu’a fait Pierre Mendès France. Au moment de son investiture comme président du Conseil, il avait prévenu les communistes : "Vous pouvez voter, je ne comptabiliserai pas vos voix dans ma victoire". [...] On a parfaitement le droit de dire à une partie de l’électorat : "Ne perdez pas votre temps ; les voix de la haine, de l’antisémitisme, du racisme, ne seront pas entendues."»

A la question de savoir comment procéder, si cet électorat devient majoritaire, Bernard-Henri Lévy élude. Il essaie alors de mettre sur le même plan le Front national et le Parti communiste : «Quand Jean-Marie Le Pen était à 20-25%, quand le parti communiste était au même niveau, j’étais partisan de leur dire à tous les deux : "Il n’y a pas de réponse à la question que vous posez. On n’y répondra pas."» Et si un parti, qu'il jugerait populiste, fait plus de 50% ? BHL proposerait de faire revoter ? D'imposer un parti minoritaire à la tête de l'Etat ?

Pour lui, nier une partie de l'électorat, si celui-ci ne correspond pas à ses idées, n'alimentera pas le ressenti de cette population, qui ne se sentirait de fait pas entendue. Elle accepterait d'ailleurs le fait que leur voix ne compte plus... «Tant qu’on a tenu ce discours, beaucoup de gens ont voté utile. C’est ce qui s’est passé jusqu’à présent. C’est ça qu’il faut dire aux gens», assure-t-il. D'ailleurs, «les gens» doivent, selon lui, prendre «leurs responsabilités».

Peu après, il fait un parallèle avec les Gilets jaunes : «Il faut que ces gens-là sachent qu’ils se mettent au ban de la République. Même s’ils sont nombreux.»

Toutefois, il concède que «la démocratie, c’est donc la voix du peuple». Ainsi, il juge que le Grand débat en France est une bonne chose, «surtout lorsqu’on le fait comme l’a fait Macron». Soutien public d'Emmanuel Macron, BHL le considère d'avoir été «extrêmement courageux» en prenant cette initiative.

Son visage sur la photo ci-dessus est celle d'un septuagénaire haineux, aigri et rempli de fureur. Rien que ça, à l'âge où ce Monsieur devrait, aurait dû, atteindre la Sagesse des vieillards.

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